Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

VIP-Blog de dlr14eme_62

Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont -  Carvin
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

1269 articles publiés
dans cette catégorie
858 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

Garçon (71 ans)
Origine : Carvin
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]

De Gaulle : l'homme et la légende

04/11/2010 22:57

De Gaulle : l'homme et la légende


De Gaulle, l'homme et la légende 

De François Broche 

Biographie 

Broché 

Edité en 05/2010 

Edition Archipel 

ISBN : 9782809803396 

Depuis qu'il a quitté le pouvoir, il reste à Charles de Gaulle une " mission " : la rédaction des Mémoires d'espoir, qu'il redoute de ne pas mener à son terme. Le voici seul face à l'Histoire, qu'une fois de plus il écrit après l'avoir faite. Et seul face à sa mort prochaine. Non qu'elle l'effraie : elle est sa compagne familière depuis la Grande Guerre. Elle n'a cessé de se rappeler à lui. Il s'est toujours promis de l'accueillir debout, impassible mais non indifférent. La maladie, les deuils, les attentats : aucune épreuve ne lui a été épargnée. Il y a toujours fait face avec sa sensibilité, sa pudeur, sa force de caractère, mais aussi ses angoisses et ses doutes. N'a-t-il pas connu, au moins une fois dans sa vie, la tentation du suicide ? " Il y a le pauvre homme de Gaulle, disait-il. Et puis il y a le de Gaulle dont on attend l'Histoire. " C'est leur rencontre qu'organise François Broche dans cet essai qui confronte l'homme et sa légende, l'action politique et la méditation philosophique. Eclairant l'ultime journée du 9 novembre 1970 à l'aide de témoignages rares, il prolonge d'ombres intimes la silhouette du " plus illustre des Français ". 

 






Une défaite pour Obama et pour la démocratie étasunienne

04/11/2010 19:20

Une défaite pour Obama et pour la démocratie étasunienne


Mardi, même s’ils n’ont pas gagné le Sénat, les républicains ont  largement gagné les élections de mi-mandat, infligeant à Barack Obama une lourde défaite, comme Bill Clinton en 1994. Que cela signifie pour le président étasunien et la démocratie du pays ?
Une lourde défaite des démocrates
Bien sûr, le fait que les démocrates gardent le Sénat, ou que quelques figures du Tea Party aient mordu la poussière peuvent faire croire que le résultat n’est pas si mauvais pour l’administration en place. Mais il n’en est rien. Il ne faut pas oublier que le Sénat était seulement renouvelé d’un tiers et que, grosso modo, les républicains ont gagné deux fois plus de sièges que les démocrates, qui ne conservent leur majorité que grâce aux sièges gagnés il y a deux ans.
De même, la majorité républicaine au Congrès peut paraître relativement peu élevée (239 représentants contre 183 pour les démocrates). Cependant, il ne faut pas oublier qu’aux Etats-Unis, les ravages du redécoupage électoral atteignent des sommets, avec beaucoup de circonscriptions taillées sur mesure pour ne jamais changer de couleur politique, quelques soient la force des vagues électorales. La majorité républicaine est donc très forte et représente un grand succès.
Une démocratie abîmée
Cette élection démontre à nouveau les carences des institutions étasuniennes qui imposent des campagnes tous les deux ans et ne laissent finalement que quelques mois au gouvernement pour travailler sereinement. Car dès à présent, la préparation des primaires va dominer l’agenda politique puisque les électeurs vont voter dès le mois de janvier 2012... En outre, le pays n’a plus de direction politique claire et rien ne devrait avancer pendant les deux prochaines années.
Enfin, ces élections ont également été celles de l’argent : quatre milliards de dollars ont été dépensés ! Et avec la liberté de parole, les campagnes électorales ont été d’un niveau effroyablement bas, se limitant à des polémiques stériles et souvent diffamatoires. Petite lueur d’espoir : Meg Whitman n’est pas parvenue à acheter le poste de gouverneur de Californie, malgré un budget de campagne d’environ 150 millions de dollars (l’équivalent du budget publicitaire de L’Oréal en France en un an !).
Si la défaite de Barack Obama n’est pas aussi cinglante que certains l’imaginaient, le coup de barre à droite est tout de même violent. Il est difficile de ne pas y voir, malheureusement, un terrain favorable à une candidature de Sarah Palin pour les élections présidentielles de 2012.
Laurent Pinsolle
 
 





Racisme d'Etat

04/11/2010 18:36

Racisme d'Etat


Il y a quelques jours, le gouvernement a lancé à grand renfort de publicité la "carte musique". De quoi s’agit-il ? D’une subvention publique offrant la moitié du prix de la carte pour inciter les jeunes à consommer de la musique en ligne sur les sites payants : ainsi, sur 50 € de consommation possible, l’Etat prend à sa charge 25 €. L'utilisateur peut ensuite se procurer des morceaux de musique sans les télécharger illégalement.
Une aberration budgétaire et économique pour renflouer une industrie musicale à bout de souffle. Mais le pire n’est pas là ! En effet, il faut voir les vidéos publicitaires diffusées pour inciter les jeunes à y recourir. Cela dégouline de bêtise et de démagogie !
Comment un gouvernement peut-il à ce point déconsidérer les jeunes ? Quelle piètre image a-t-il donc d’eux ? Une honte ! Non, monsieur Frédéric Mitterand, les jeunes ne sont pas ainsi.
Quel mépris pour eux, et quel racisme aussi quand on ose montrer un jeune noir comme un idiot faisant du pseudo-rap. Les jeunes de notre pays, quelle que soit leur origine, ne sont pas des bêtes de cirque. Ils étudient, se cultivent, se distraient, s’amusent et votre carte - grotesque et méprisante - ils n’en ont que faire.
NDA
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Racisme-d-Etat
 







L’arrogance du Léviathan* européen

04/11/2010 18:22

L’arrogance du Léviathan* européen


|4. novembre 2010 
*Le léviathan (de l’hébreu: לויתן, liwjatan) est un monstre marin évoqué dans la Bible, dans les Psaumes (74,14 et 104, 26), en Isaïe, 27, 1 et au Livre de Job (3:8 et 40:25). Ce nom désigne un monstre colossal, dragon, serpent et crocodile, dont la forme n’est pas précisée ; il peut être considéré comme l’évocation d’un cataclysme terrifiant capable de modifier la planète, et d’en bousculer l’ordre et la géographie, sinon d’anéantir le monde.

 

  • par  Karim Ouchikh

 

leviathan_européen Les nouvelles qui nous parviennent chaque jour du front bruxellois nous livrent, inlassablement, la démonstration éloquente de l’emprise toujours plus envahissante de l’Union européenne sur le destin de la France. Tel un vulgaire délinquant au passé de multirécidiviste, la France vient d’être épinglée ces derniers jours par Bruxelles, deux fois coup sur coup, sur des questions de stricte politique intérieure.
Alors qu’il peine à justifier de l’utilité de son bouclier fiscal auprès d’une opinion publique en plein désarroi, le gouvernement français a été sommé par la Commission, le 28 octobre 2010, de le corriger aussitôt, sous peine de poursuites devant le Cour de justice de l’Union européenne, au motif que certaines des dispositions de ce dispositif fiscal contreviendraient au sacro-saint principe de libre concurrence des personnes et de capitaux au sein de l’Union.
Aux yeux de nos sourcilleux gardiens de l’orthodoxie européenne, le bouclier fiscal français introduirait, en bref, une discrimination incontestable entre les contribuables fiscalement domiciliés en France qui en bénéficient au regard de leurs seuls impôts payés dans l’Hexagone et ceux qui, non-résidents, ne peuvent s’en prévaloir, non sans provoquer par ailleurs, affirme-t-on au sein de la Commission, d’inacceptables distorsions de concurrence entre les investissements créant des dividendes sur le territoire français et ceux qui, réalisés dans le reste de l’Europe, n’en produisent aucunement.
Second volet de la colère bruxelloise à l’égard de Paris : présumée coupable aux yeux de la Commission d’avoir insuffisamment adapté sa politique de prévention en matière d’inondations, la France est assignée par Bruxelles devant la Cour de Justice de l’Union européenne, également ce 28 octobre 2010, pour ne pas avoir transposé dans son droit la réglementation européenne de 2009 qui impose aux Etats de réaliser d’ici 2011 en ce domaine un recensement des bassins hydrographiques et des zones exposées en vue de l’élaboration d’ici 2013 des cartes de risques d’inondation et, d’ici 2015, des plans d’action ad hoc. Ainsi trainée devant la juridiction bruxelloise, pour y être financièrement condamnée, la France devra s’acquitter d’amendes dont le montant astronomique sera supporté, in fine, par les contribuables français.
Sous le coup de ces deux offensives savamment orchestrées, à l’importance symbolique certes inégale, la France se voit à nouveau aussi bien contester sa capacité à décider souverainement du bien fondé de sa politique nationale par l’entremise de ses institutions démocratiquement élues que déposséder de son droit légitime d’y renoncer librement, par elle-même.
En vérité, il n’y a malheureusement là rien de bien nouveau sous le ciel bruxellois. De l’Acte Unique européen adopté en 1986 au traité de Lisbonne signé en 2007, nos gouvernants n’ont-ils pas pris, hélas, délibérément le parti, à droite comme à gauche, de baisser les armes devant la menace bruxelloise et d’assujettir sans relâche notre pays depuis près de vingt cinq ans dans la voie de la dépendance et de l’impuissance, en dépit de l’hostilité du peuple français qui s’était pourtant clairement refusé à bénir cette entreprise de renoncement systématique lors du référendum de mai 2005 ?
Et ce n’est certes pas l’accord obtenu au forceps entre les Vingt-sept, lors du dernier sommet des chefs d’Etats et de gouvernements de l’Union européenne des 28 et 29 octobre 2010, d’ouvrir la voie de la révision partielle du Traité de Lisbonne en vue de la mise en place d’un mécanisme permanent de gestion des crises financières, qui sera réalisée sous peu sans pour autant davantage consulter les peuples sur cette question, qui comblera l’immense fossé qui ne cesse de s’élargir entre les Français et les oligarchies politico-médiatiques de notre pays, acharnés tant et plus à perdre la France dans un ensemble européen totalitaire, véritable Léviathan des temps modernes.
A dire vrai, le véritable changement, plus inquiétant celui-ci, se situe ailleurs. Un climat inédit, un ton nouveau, à l’origine d’une incontestable mutation des esprits et des discours, se sont progressivement installés ces dernières semaines à Bruxelles, subrepticement, depuis que la Commission européenne a fait le choix de ne plus à masquer ses ambitions hégémoniques.
Les observateurs relèvent partout les exemples de cette attitude d’arrogance satisfaite que les responsables de Bruxelles affichent de plus en plus ouvertement lors de la manifestation de leurs prises de position politiques, comme si les institutions européennes, non contentes désormais de disposer des coudées franches aux dépens des Etats depuis l’adoption du Traité de Lisbonne, éprouvaient au fond le besoin de manifester à présent leur nouvelle puissance, avec morgue et suffisance.
N’a-t-on pas assisté de la sorte à l’expression d’une franche hostilité de la Commission européenne au pacte franco-allemande de Deauville du 18 octobre 2010 dont l’un des desseins marquants prévoyait de supprimer explicitement le caractère automatique des sanctions infligées aux Etats pratiquant une politique budgétaire laxiste, en quoi Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, alliés de circonstance, avaient pris intelligemment Bruxelles à contrepied, sur un terrain où l’Union européenne entendait imposer aux Etats une discipline de fer ?
A la veille du Sommet européen censé avaliser le compromis budgétaire franco-allemand, la commissaire européenne à la justice, aux droits fondamentaux et à la citoyenneté, Viviane Reding s’est ainsi insurgé en dénonçant avec fureur « un diktat franco-allemand », non sans avertir que « les décisions ne se prennent pas à Deauville, mais à Vingt-sept et à l’unanimité » (Le Figaro, 27 octobre 2010)
Le choix de la Commission de Bruxelles de laisser à nouveau son porte-flingue s’exprimer librement sur une affaire qui ne se rapporte pas directement aux attributions de l’impétueuse commissaire, est tout sauf anodin. Avec l’affaire des Roms, la Commission européenne ne s’en était-elle pas pris violemment en effet à la France, lors d’une mémorable passe d’armes qui avait opposé cet été Viviane Reding à Paris ? Or, s’agissant d’une polémique qui est loin d’être éteinte, Bruxelles persiste et signe à l’égard de Paris : toujours à la manœuvre, la commissaire luxembourgeoise a ainsi affirmé le 29 octobre 2010, en adoptant une fois de plus le ton cassant qui lui est coutumier, qu’elle n’avait « pas de regret, encore moins de raison de (s’) excuser » en ajoutant, sans prendre de gants, que « la France reste sous surveillance » dans ce dossier (Le Monde, vendredi 29 octobre 2010).
Si les mots conservent encore un sens, ces déclarations récentes expriment de la part de cette cheville ouvrière de la Commission européenne un refus catégorique de se livrer à la moindre autocritique, au lendemain des propos incendiaires qu’elle a délibérément tenus cet été dans une affaire emblématique où son attitude outrancière à l’égard de la France avait été pourtant, depuis lors, publiquement désavouée par les Etats européens. Au fond, les dernières déclarations de Viviane Reding témoignent toujours de la volonté de Bruxelles de monter davantage en épingle l’affaire des Roms et d’alimenter ainsi sciemment un différend avec la France, dans une stratégie de tension calculée vis-à-vis des Etats européens.
Sûr de son bon droit, Bruxelles entend moins que jamais faire profil bas. Quitte à manquer d’égard et de considération à l’endroit des Etats membres de l’Union européenne dont elle tire pourtant sa légitimité politique, la Commission se propose en somme, sans complexe aucun, de leur disputer partout le ‘‘leadership’’ dans la conduite des affaires européennes, en faisant preuve à chaque instant aussi bien d’un autoritarisme sans faille dans la conception idéologique de sa politique d’intégration des Etats que d’un volontarisme intraitable dans l’exécution de celle-ci.
Dans ce rapport de forces permanent qui, à Bruxelles, s’exerce aujourd’hui insensiblement à leur désavantage, les Etats européens demeurent condamnés, s’ils ne réagissent pas rapidement dans un commun élan vital, à subir l’infortune d’une situation d’impuissance dont les puissants ressorts sont inscrits en réalité dans le marbre des dispositions du funeste Traité de Lisbonne, qu’ils ont pareillement consentis à ratifier au mépris des intérêts de leurs peuples.
Nos compatriotes auront tôt fait de prendre lucidement conscience de la logique diabolique qui anime sournoisement une mécanique européenne qui a été à ce point verrouillée qu’elle ne peut en définitive être réformée d’aucune manière.
Faute donc pour la France de pouvoir recouvrer de l’intérieur la maîtrise de son destin qui lui échappe peu à peu, il appartiendra à notre pays de se débarrasser de la douce tyrannie bruxelloise, en sortant au pas de course du carcan d’une Union européenne plus que jamais prisonnière d’une logique mondialiste qui lui impose la construction irrésistible d’un modèle impérial castrateur.
En dénonçant de la sorte le Traité de Lisbonne, pour mieux s’orienter demain vers des coopérations renforcées librement choisies, la France entraînera heureusement dans son sillage les autres peuples du continent, aujourd’hui asservis, les libérant ainsi des griffes du Léviathan européen.





L’engrenage de la soumission

02/11/2010 22:33

L’engrenage de la soumission


Après avoir mis le doigt dans l’engrenage avec le retour de la France dans l’OTAN, Nicolas Sarkozy - qui vient de signer un accord de défense avec la Grande-Bretagne incluant la dissuasion nucléaire - y met carrément le bras.
Il scelle ainsi la fin de notre indépendance militaire, et donc de notre raison d’être en tant que nation libre. Cinq présidents avant lui - de droite comme de gauche - avaient pourtant défendu avec âpreté ce pré carré de la puissance française, car ils savaient que par-delà les différences partisanes c’était la condition absolue de notre indépendance.
En mettant en commun notre recherche avec un pays totalement dépendant des Etats-Unis pour sa dissuasion nucléaire, le président de la République met en danger l’indépendance scientifique de notre force de dissuasion. Sous couvert de rationalisation des moyens, cet accord de défense fait in fine de la France une succursale de la politique étrangère américaine.
Dans quelques jours, nous allons célébrer le 40e anniversaire de la disparition du Général de Gaulle. J’espère que Nicolas Sarkozy ne lui fera pas l’affront d’aller se recueillir sur sa tombe, alors qu’il démolit méthodiquement son héritage.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne et président de Debout la République





Début | Page précédente | 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact dlr14eme_62 ]

© VIP Blog - Signaler un abus